Lorsque Napoléon résida aux Briars en 1815 dans une
propriété coloniale cultivée par des esclaves. Un d’entre eux se nommait Toby.
Pas de nom de famille. Juste Toby.
Durant ses promenades dans les jardins, l’Empereur,
accompagné par Las Cases n’eut de cesse de s’interroger sur son étoile.
Pourquoi Toby avait été réduit à l’état d’esclave ? Pourquoi lui-même
était-il devenu Empereur ? Dans ce contexte, le comte de Las Cases
attribua à Napoléon ces mots : « Les malheurs ont aussi leur
héroïsme et leur gloire ... L'adversité manquait à ma carrière ... Si je fusse
mort sur le trône dans les nuages de ma toute-puissance, je serais demeuré un
problème pour bien des gens; aujourd'hui, grâce au malheur, on pourra me juger
à nu. »
Sainte-Hélène faisait désormais partie intégrante de sa
destinée.
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Comme on le voit sur cette photographie ci-dessous, jusque dans les années 1950 ce « cottage » était habité. Les rajouts en tôle de cette époque ont heureusement disparus... Ne restent plus que les murs de pierre originaux.
1961 (c) Bob Johnson |
En 2011 |
En 2012 |
En 2014 |
En 2019 |
En 2022, lors d'une visite de Kedell |
Cette semaine, avec l'aide de John I Isaac, nous venons d'en nettoyer les contours et l'accès par les Jardins potagers des Balcombe situés au versant sud du Pavillon.
The British Napoleonic Bicentenary Trust (BNBT), a accepté de nous aider à établir une étude préliminaire des travaux qui seraient à faire.
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